Slide Hampton
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18 nov. 2021
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21 avril 1932, Jeannette, PA - 18 novembre 2021, Orange, NJ
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© Jazz Hot 2021
Slide Hampton, Vienne, 1993 © Pascal Kober
Slide HAMPTON «La première chose qu'il faut faire si l'on veut apprendre la musique, c'est écouter. Et ça, ce n'est pas dans les livres… Tous les problèmes que nous avons dans la société, toutes ces frustrations, ces confusions et ces décadences, ne peuvent être résolus que par l'art et par rien d'autre. Même pas par la religion. En Amérique, à l'époque des big bands, des centaines d'orchestres se produisaient tous les soirs dans le pays. Des milliers de musiciens. Ce phénomène rassemblait les gens… Le déclin des big bands a coïncidé avec une perte de la cohésion de la société elle-même.» Slide Hampton dans Jazz Hot n°509, avril 1994
Le grand tromboniste, tubiste, trompettiste, pianiste, compositeur, arrangeur, leader et jazz messenger, Slide Hampton, est décédé à son domicile le 18 novembre 2021, à Orange, NJ. Né dans la période de la Grande Crise de 1929, Locksley Wellington Hampton arrive comme benjamin d’une grande famille musicienne professionnelle de 11 enfants –la maman, Laura Buford, est harpiste et pianiste–, c’est une troupe itinérante (d’Ohio en Pennsylvanie, Californie, Midwest, Indiana, à New York…) et baptiste, car le père, Clarke, est diacre, mais aussi saxophoniste, batteur et chef d’orchestre. Il ne manque plus qu’un trombone pour compléter le Deacon Hampton’s Pickaninny Band ou plus tard le Deacon Hampton’s Cotton Pickers, et c’est ainsi que Locksley devint Slide en apprenant la «coulisse» sur un instrument pour gaucher, qu’il a toujours jugé ingrat et peu fluide pour arriver à sonner comme Charlie Parker, son objectif premier! (Jazz Hot n°182, cf. infra). Slide Hampton est d'ailleurs l'un des contributeurs interviewés du documentaire en DVD Charlie Parker, Improvisation (Norman Granz Presents/Eagle Vision).
Hélène et Yves Sportis Photos Pascal Kober image extraite de YouTube avec nos remerciements

Slide Hampton © Pascal Kober «La musique sans expression ne veut rien dire. Écoutez simplement Louis Armstrong. Pouvoir donner une telle vie à la musique devrait être l'objectif de tout musicien.»
Bien que droitier, il reste tromboniste gaucher et démarre professionnellement à 12 ans, au sein des différentes formations familiales(1) après avoir chanté et dansé sur scène dès ses 6 ans; le père fait travailler la musique de la maisonnée six à sept heures par jour! Son oreille s’ancre spirituellement dans une musique expressive, colorée de gospel («Sister Salvation») et de swing, pour la danse et en grand ensemble. Le travail de l’instrument le dirige vers des sons veloutés et une solide attaque des notes qu’il mettra en valeur dans ses arrangements («Strollin’»). Avant guerre, la famille se fixe à Indianapolis, IN, où elle a des engagements réguliers depuis 1938, les industries recommençant à tourner à plein avec la préparation de la nouvelle guerre. Slide passe par les programmes publics de musique de Crispus Attucks(2), la pépinière musicale locale, en même temps que David Baker (tb, 1931-2016), et comme avant eux J.J. Johnson (1924-2001), ou après eux, Freddie Hubbard (1938-2008), trois pousses proches de la maisonnée Hampton, trois natifs de cette ville prospère qui produit des voitures, ce qui permet, comme à Detroit, MI, de faire germer les musiciens! En dehors du domicile des Hampton devenu lieu de répétition permanent ouvert à tous les jazzmen en herbe, les jeunes fréquentent Indiana Avenue, l’artère jazz où Wes Montgomery (g, 1923-1968) est revenu(3), et a retrouvé ses frères Buddy (p) et Monk (b) après avoir été un temps éloigné du foyer natal. La maison des Montgomery est encore un autre incubateur musical de la ville en matière de notes bleues. Puis Wes est engagé par Lionel Hampton lors d’un passage de l'orchestre et reprend la route. Si le chemin de Slide semblait prédestiné, il le construit avec ses idées acquises très tôt: pour les arrangements, il veut sonner comme un big band, et à défaut, l’octet lui paraît adapté; les parangons de l’arrangement sont pour lui Duke Ellington, Tadd Dameron et Gil Evans. Son inspirateur du phrasé blues et fluide est Charlie Parker, et pour la respiration rythmique, Art Blakey. Slide a passé dix ans dans la grande formation familiale (1944-1953), menée d’abord par Deacon son père (décédé en 1951), puis par Clarke Jr., dit Duke, son frère aîné, un orchestre qui se produit même à Carnegie Hall (le 15 avril 1945 en ouverture de Lionel Hampton, suite à un concours du Pittsburgh Courier), à l’Apollo, au Savoy. L'orchestre a enregistré en 1953 pour le label King à Cincinnati, OH. Après cette période, Slide passe deux ans chez Buddy Johnson (1954-1956) et grave son premier album en sideman, avec son frère Russell Lucky Hampton (tp), pour Bill Doggett en mai 1954, toujours chez King. Les déplacements sont aussi l’occasion pour le jeune Slide de découvrir les autres musiciens: lors du voyage à New York en avril 1945, il voit Bud Powell pour la première fois en live au Birdland. Le pianiste est pour lui une révélation sur l’importance d’être à New York, et aussi sans doute par la suite à Paris. Début 1947, Count Basie, en concert à Indianapolis, essaie de débaucher plusieurs «Hampton» pour son big band, mais sans succès, car leur orchestre est très populaire dans les ballrooms d’après guerre, une manne qui va se tarir dans la deuxième partie des années 1950. La TV remplace les sorties rendues plus compliquées avec les nouvelles banlieues! Slide travaille ensuite deux ans (1956-1958) chez Lionel Hampton, le cousin très éloigné déjà rencontré lors de l’épisode Carnegie Hall onze ans avant, et enregistre Two Bones (Blue Note, 1958) avec Curtis Fuller, puis l’album Melba Liston and Her ‘Bones où il joue aussi du tuba (cf. vidéographie). Il continue ses classes deux années de plus comme instrumentiste, surtout arrangeur chez Maynard Ferguson (1958-1960) avec qui il aura une collaboration sur la durée jusqu'en 1968, et plus tard encore des rencontres. Fin 1959 à New York, il grave au trombone et au tuba, chez Strand, son premier disque en leader d’un octet, Horn of Plenty, avec Freddie Hubbard et Booker Little (tp), Bernard McKinney (tb,bar-hrn), George Coleman (ts), Jay Cameron (bar), George Tucker (b), Kenny Dennis (dm). Il commence à travailler avec Randy Weston (dont la tromboniste Melba Liston sera l’arrangeur des décennies durant), avec Charlie Mingus, Nat Adderley. Le temps d’acheter et installer le «245» Carlton Avenue à Brooklyn, NY(4), un bâtiment de trois étages où il héberge des musiciens et organise des jams au sous-sol, notamment avec John Coltrane, Freddie Hubbard, Wes Montgomery, Gerry Mulligan, Wayne Shorter, Eric Dolphy –qui dédit au lieu une de ses compositions–, la tête pleine de discussions et de projets, Slide arrive chez Dizzy Gillespie en 1960 où il côtoie James Moody, Lee Morgan, Benny Golson, Jimmy Owens. Il partage avec Dizzy le goût de la complexité rythmique latine et celui des tap dancers, partie intégrante du jazz depuis toujours avec, alors, les Sammy Davis, Jr., Harold Nicholas qui travaille avec Max Roach, Will Gaines ou Bunny Briggs, tous deux partenaires de Duke Ellington(5); car Slide a été à bonne école comme danseur avec sa sœur Dawn Hampton (1928-2016, b,s,voc,danse) musicienne accomplie restée danseuse(6).  Slide Hampton, Vienne 1993 © Pascal Kober
Le réseau d’Indianapolis reste productif: en témoignent des albums avec Freddie Hubbard (1962) ou J. J. Johnson (1965). Il est très émouvant de relire (Jazz Hot n°182, cf. infra) ce que pense Slide Hampton de son «dernier» disque d’avril 1962 gravé à New York, la Drum Suite (cf. vidéographie) avec Max Roach, Tommy Flanagan (p), Freddie Hubbard, Hobart Dotson, John Bello, Richard Williams, Willie Thomas (tp), Jay Cameron (bar), George Coleman (ts), Yusef Lateef (ts,fl), Benjamin Jacobs-El (tb), Vinnie Ruggiero (dm), Eddie Khan (b), son «meilleur disque» depuis ses débuts, selon lui. A 30 ans, Slide Hampton est un musicien recherché, et lui-même reste toujours aussi curieux de rencontres humaines, culturelles et de découvertes musicales. Parmi les curiosités de son parcours, il devient directeur musical-arrangeur pour le chanteur de rhythm and blues/rock and roll, Lloyd Price (1933-2021), et signe pour lui en 1962 un arrangement insolite par son côté tonique de «Misty» quand Erroll Garner l’avait créé plus ouaté huit ans avant. Il est aussi directeur musical à la Motown pour Stevie Wonder, les Four Tops et, plus tard, Diana Ross. Il fait même un disque de twist chez Atlantic qu’il trouve trop «commercial» (Jazz Hot n°182, cf. infra). Cette même année 1962, Slide Hampton enchaîne quatre disques en leader avec les fidèles George Coleman (ts), Horace Parlan (p), Ray Barretto, Benjamin Jacobs-El (tb), Jay Cameron (bar), Vinnie Ruggiero (dm), dont Exodus, enregistré chez Philips à Paris à l’occasion de son passage au Théâtre de l’Etoile et au Club Saint-Germain.
Jazz Hot retrouve Slide Hampton de part et d’autre de l’Atlantique dans ses colonnes, juste au moment (Jazz Hot n°240, dont il fait la couverture, cf. infra) où il prend ses marques pour venir en Europe. 1968 est une année charnière dans le parcours des jazzmen, en raison en particulier de l’assassinat de Martin Luther King, une triste fin des années de luttes pour la justice entre humains: les illusions se font désillusions. Cette année-là, Slide s’installe à Paris puis à Berlin pour une petite décennie avec des projets de travail au sein d’orchestres radiophoniques de plusieurs pays.
Slide, amateur éclairé de pianistes, est aussi proche d’un autre messenger-globe trotteur qui admire, comme lui, Bud Powell, Charlie Parker et Dizzy, pratiquant également les musiques classiques et latino-cubaines, tous deux adorant parler de jazz en plus d’en jouer: son aîné de trois ans, Barry Harris. A partir des années 1980, leurs domiciles sont proches dans le New Jersey, installant une proximité qui ne se dément pas: Barry a quitté la planète trois semaines après Slide.
Les premières productions en leader de Slide Hampton après 1962, reprennent donc à Paris –où Bud Powell a aussi résidé de 1959 à 1963– entre 1967 et janvier 1969, avec Martial Solal, Hampton Hawes, Gérard Gustin, Joachim Kuhn (p), Sacha Distel (g,voc), Paul Piguillem (g), Nathan Davis (ts), Dave Pike (vib), alternativement Henri Texier, Paul Rovère, Niels-Henning Ørsted-Pedersen (b) et Daniel Humair, Marcel Blanche, Philly Joe Jones (dm) (cf. discographie). Il enregistre aussi à Londres, Rome, Milan, Prague, Zurich, Munich, prenant toujours plaisir à rencontrer des musiciens du cru.
En tournées sur le Vieux-Continent, il accompagne Woody Herman, Art Blakey, Benny Bailey, Mel Lewis, Thad Jones, Clark Terry, Kenny Drew, Art Farmer, Rufus Reid, Dexter Gordon, Johnny Griffin ou Jimmy Heath et travaille en clubs, en festivals, du côté français avec Fred Gérard, Raymond Katarzynski, Eddy Louiss, Jean-François Catoire, André Ceccarelli (Jazz Hot n°285, concert à la Gaité Montparnasse, 1972) ou avec le Swing Limited Corporation à l’ORTF-Paris, car Slide recherche toujours les opportunités de jouer en grand orchestre radiophonique, ce qu’il fait également en Italie, en République Fédérale d’Allemagne, au Royaume-Uni, en Hongrie (cf. vidéographie).
 Slide Hampton, Vienne 1993 © Pascal Kober
A partir de 1977, Slide prend un rythme transatlantique en rentrant aux Etats-Unis, et il enregistre chez Rudy Van Gelder à Englewood Cliffs, NJ, le disque bien nommé Home en 1978 pour Bill Hardman (tp,flh, 1932-1990), trompettiste leader avec lequel il partage l’amour de Paris et l’admiration pour Art Blakey. Slide Hampton commence ses master-classes et ses cours à partir de 1981. Il enseigne dans différentes universités: Harvard, Massachusetts-Amherst, DePaul à Chicago, et rejoint David Baker à l’Indiana State University.
Vingt ans après le Two Bones, Slide Hampton récidive à neuf trombones avec Curtis Fuller à New York, où il reprend ses marques, pour un World of Trombones (Music, janvier 1979). A partir de l’automne 1980, commence une collaboration avec un autre immense pianiste McCoy Tyner qui dure jusqu’en 1994, avec trois albums ( 13th House, The Turning Point, The Journey, cf. discographie). Il travaille avec Benny Powell (1981-1982), Johnny Raducanu, grave un bel hommage à Tadd Dameron (1917-1965), Mad About Tadd, avec le quintet Continuum qui réunit Jimmy Heath, Kenny Barron, Ron Carter et Art Taylor (QuickSilver, 1982, cf. vidéographie), publie en coleader In Concert (Enja, 1984) avec Art Farmer, un live au Jazz Workshop de Tübingen en RFA, le duo étant accompagné par Jim McNeely (p), Ron McClure (b) et Adam Nussbaum (dm). Il enregistre en quintet l’album Roots pour Criss Cross à Monster (Hollande) en 1985, invitant Clifford Jordan (ts), Cedar Walton (p), David Williams (b), Billy Higgins (dm). En 1989, Slide Hampton prend la codirection musicale avec Paquito D'Rivera du Dizzy's Diamond Jubilee (Dizzy Gillespie’s United Nation Orchestra), en vue des concerts de l’année 1992 pour fêter les 75 ans de l’illustre trompettiste. En avril 1990, il joue avec Claudio Roditi à la 18e New York Brass Conference for Scholarships de Charles Colin, puis ils se retrouvent pour la tournée To Diz With Love en 1992, et pour l’album Dedicated to Diz (Telarc, 1993) enregistré en février, un mois après la disparition de Dizzy, avec sa formation, Slide Hampton and the Jazz Masters, avec laquelle il tourne jusqu’en 1994. Slide renouvellera les hommages à Dizzy au sein du Dizzy Gillespie All Stars Big Band (cf. vidéographie) où le rencontre au tournant du millénaire, le très jeune trompettiste Josh Evans qui se souvient avoir joué son premier morceau au Blue Note avec cette prestigieuse formation composée de Slide Hampton, Jon Faddis, James Moody, Jackie McLean, Mulgrew Miller, John Lee et Lewis Nash.
En 1998, Slide Hampton remporte un premier Grammy Award pour l’arrangement avec chanteur de «Cotton Tail» par Dee Dee Bridgewater, et en 2004 un second, avec le Vanguard Jazz Orchestra, pour l’album Past Present & Future.
Puis l’Indiana Jazz Festival invite douze Hampton de trois générations en 1999(1), et Gianni Basso (ts) invite Slide pour un enregistrement en big band à Asti en Italie (Nuova Era).
Slide offre trois plages enregistrées au DePaul University Jazz Ensemble, en mai 2005, au sein de l’historique Jazz Showcase à Chicago, IL; la même année, Slide sera intronisé NEA Jazz Master.  Slide Hampton & the Jazz Masters, Vienne 1993 © Pascal Kober
En avril 2017, Slide Hampton fête ses 85 ans au Wilbur Ware Institute et au Lincoln Center ( cf. vidéographie) et en juin 2021, la Jazz Foundation of America l’honore du Lifetime Achievement Award, au regard de ses presque huit décennies dans le jazz, une trentaine d’albums en leader, des milliers de concerts sur toute la planète en clubs ou en festivals, une importante discographie en sideman, son rôle dans la transmission du jazz aux générations suivantes. Pour Slide Hampton, le jazz portait un sens, un message dans son expression, il ne s’agissait pas d’un simple enchaînement, même virtuose, de notes; c’était également un fin connaisseur de musique classique, toujours avec son regard spirituel et non purement technique. Il aimait aussi la musique latine et des Caraïbes. Il a d’ailleurs gravé le disque Slide Plays Jobim (Alleycat) en 2002, avec une formation américano-brésilienne dont son ami, Claudio Roditi.
Slide Hampton a été marié cinquante années avec Althea Gardner de 1948 à 1997. Ensemble, ils ont eu quatre garçons, Gregory (décédé en 2019), Maceo, Lamont, Locksley, Jr. et une fille, Jacquelyn; il était devenu au fil du temps l’arrière-grand-père d’une grande famille. Son fils, Lamont, a indiqué qu’il jouait encore du trombone l’avant-veille de son décès à son domicile d’Orange, NJ.
*Expression tirée de son interview dans Jazz Hot n°182, décembre 1962 sur ce qu’est le jazz.
1. Une épopée à ne pas manquer: The Hampton Jazz Family The Unforgettable Hampton Family, réal. Julie Cohen, 2011
2. Miss Ruth McArthur (1916-1994), était directrice des programmes de musique des 13 écoles publiques élémentaires d’Indianapolis, installée à Crispus Attucks High School , puis elle crée le McArthur Conservatory of Music dans un bâtiment appartenant à son père (médecin) au 808-810 Indiana Avenue (1946-1963), au milieu des clubs de jazz et blues de la ville.
3. Wes Montgomery, Back On Indiana Avenue: The Carroll DeCamp Recordings, documentaire 2019 de ResonanceRecords
4. Chez Slide Hampton, 245 Carlton Avenue, Brooklyn, NY
5. Duke Ellington et les danseurs/tap dancers:
AUTRES SOURCES Interview par Molly Murphy, 13 janvier 2007, NEA
  SLIDE HAMPTON & JAZZ HOTJazz Hot n°168, septembre 1961, Music at Newport, dont Slide Hampton (Billy Mitchell, Al Grey, Steve Kuhn, Jewel Brown, Miriam Makeba, Chico Hamilton, James Moody, Cal Tjader) Jazz Hot n°240, avril 1968, Janvier au Baron Club, Harlem, avec Ray Charles et Slide Hampton Octet: Bill Hardman (tp), Billy Harper (ts), Juini Booth (b), McCoy Tyner (p), au Vanguard avec le big band de Thad Jones et Ray Charles, puis arrivée à Paris en février Jazz Hot n°509, avril 1994, interview de Slide Hampton en compagnie de Charles Fishman (producteur et manager de Dizzy Gillespie notamment)
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DISCOGRAPHIE

Leader-coleader LP 1959. Slide Hampton Octet, and His Horn of Plenty, Strand 1006 (= CD Two Sides of Slide, Fresh Sound 349) LP 1960. Slide Hampton Octet, Sister Salvation, Atlantic 1339 (= CD The Slide Hampton Octet, Fresh Sound 674) LP 1960. The Slide Hampton Octet, Somethin’ Sanctified, Atlantic 1362 (= CD The Slide Hampton Octet, Fresh Sound 674) LP 1961. Slide Hampton, Jazz With a Twist, Atlantic 1379 (=CD Collectables 6604)
LP 1962. Slide Hampton and His Orchestra, Drum Suite, Epic 17030 (=CD Mosaic 1007) LP 1962. Explosion! The Sound of Slide Hampton, Atlantic 1396 (=CD Collectables 6604)
CD 1967-68. Slide Hampton: Mellow-dy, LRC 9053
LP 1968. Slide Hampton, Super Panache, Barclay 950056 LP 1968. Sacha Distel: Back to Jazz With Slide Hampton, Pathé Marconi 062/10.025
LP 1969. Dexter Gordon/Slide Hampton, A Day in Copenhagen, Prestige 7763/MPS 15230
LP 1970-71. Umeå Big Band/Slide Hampton in Montreux, Gazell MG-1225 LP 1971. Slide Hampton With Václav Zahradník Big Band, Supraphon 1 15 0929
LP 1972. Slide Hampton & Dusko Gojkovic: Summit Big Band, Jazz a Confronto 18-Horo 101-18
LP 1972. Slide Hampton & Václav Zahradník Big Band, Interjazz 2, Supraphon 1 15 1370 LP 1974. Slide Hampton/Joe Haider Orchestra, Give Me a Double, MPS/BASF 29.22311-6 LP 1982. Continuum: Slide Hampton/Jimmy Heath/Kenny Barron/Ron Carter/Art Taylor, Mad About Tadd, The Compositions of Tadd Dameron, Palo Alto 8029 (CD Mad About Tadd, Quicksilver 4026) CD 1984. Art Farmer/Slide Hampton, In Concert, Enja 4088 2 LP 1984. Cees Slinger/Slide Hampton Quintet (in Concert), Vara Jazz 5216 CD 1985. Slide Hampton Quintet featuring Clifford Jordan, Roots, Criss Cross Jazz 1015    LP/CD 1985. The Paris Reunion Band, French Cooking, Gazell 1002 (Slide Hampton/Dizzy Reece/Woody Shaw/Nathan Davis/Johnny Griffin/Kenny Drew/Jimmy Woode/Billy Brooks) CD 1993. Slide Hampton & the Jazzmasters, Dedicated to Diz: Live at the Village Vanguard, Telarc Jazz 83323 CD 1997. Slide Hampton & the SWR Big Band, Jazz Matinee, Hänssler/Faszination Musik 93.048 CD 1998. Slide Hampton, Inclusion, Twin Records 898/Sound Hills Records 8107    CD 2002. Slide Hampton, Slide Plays Jobim, Alleycat Productions 20021 CD 2002. Slide Hampton and the World of Trombones, Spirit of the Horn, MCG Jazz 1011 CD 2002. Slide Hampton, Meets Two Tenor Case, Callitwhachawana, Blue Jack 018
Sideman
LP 1952. Eddie Vinson, King 668, 634 LP 1953. Duke Hampton, King 4625 LP 1954. Bill Doggett, King 4721, 4734 CD 1955. Buddy Johnson, Buddy and Ella Johnson 1953-1964, Bear Family Records 15479 LP 1958. Johnny Richards, Experiments in Sound, Capitol 981 LP 1958. Curtis Fuller, Two Bones, Blue Note GXF 3064 LP 1958. Lionel Hampton, Ades JS30LA501 LP 1958. Maynard Ferguson, A Message From Newport, Roulette 52012 (=CD Mosaic The Complete Roulette Recordings of Maynard Ferguson, Mosaic MD10-156) LP 1958. Maynard Ferguson, Swingin' My Way Through College, Roulette 25058 (=CD Mosaic) LP 1958. Melba Liston, Melba Liston and Her 'Bones, Metrojazz 1013 LP 1958. Maynard Ferguson, Swingin’ My Way Through College, Roulette 52058 (=CD Mosaic) LP 1959. Dodo Greene, Ain't What You Do, Time Records 70001 LP 1959. Nat Adderley, Much Brass, Riverside 1143 (=CD Original Jazz Classics 848-2) LP 1959. Randy Weston, Destry Rides Again, United Artists 4045 45t. 1960. Ruth Brown, Baby Don't You Cry/Shine On, Atlantic LP 1960. Charles Mingus, Pre Bird, Mercury 20627 LP 1960. Randy Weston, Uhuru Afrika, Roulette 5001 LP 1960. Maynard Ferguson, Lets Face the Music and Dance, Roulette 52055 (=CD Mosaic) LP 1961. Sticks Evans, Stick Around With Sticks, Estate Record Co. 918 LP 1962. Oscar Peterson, Bursting Out, Verve 8476 LP 1962. Maynard Ferguson, Maynard ‘62, Roulette 52083 (=CD Mosaic) LP 1965. Harold Betters Meets Slide Hampton, Gateway 7009 LP 1965. Harold Betters, Ram-Bunk-Shush, Reprise 6195 LP 1965. J.J. Johnson & His Orchestra, Goodies, RCA/Victor 3458 LP 1966. Harold Betters, Out of Sight & Sound, Reprise 6208 LP 1967. Barry Harris, Luminescence!, Prestige 7498 LP 1967. Kim Weston, For the First Time, MGM 4477 LP 1967. Maynard Ferguson, Ridin’ High, Enterprise 13-101 LP 1968. Gustav Brom & Maynard Ferguson, Supraphon 1 15 0716 LP 1969. Hank Mobley, The Flip, Blue Note 4329 LP 1969-70. NDR Jazz Workshops 1969-1970, NDR 654094 CD 1970. The Swing Limited Corporation, Story, Nocturne Productions 107 LP 1970. Oliver Nelson, Berlin Dialogue for Orchestra, Flying Dutchman 10134 LP 1971. Jazz Group du Radio Suisse Romande, Suzy 303 LP 1971. Trombone Workshop, MPS 21.20915-6 LP 1971. Klaus Weiss, I Just Want To Celebrate, BASF 4421247-5 (=CD Live at the Domicile, ATM 3805) LP 1973. Myriam Klein, Ladylike, MPS 21 21885-6 (=CD MPS 523379-2) LP 1975. Gerry van der Klei, Multifaced Gerry, Basart PO 13002 LP 1975. Boy Edgar, Music Was His Mistress, an Hommage to Edward Duke Ellington, BVHaast 022 LP 1976. Peter Herbolzheimer Big Band, Jazz Gala Concert, Atlantic 1693 LP 1976. The Woody Shaw, Concert Ensemble at the Berliner Jazzstage, Muse 5139 LP 1977. Gijs Hendriks, On the Way, Ring 30001-2 LP 1977. Louis Hayes, The Real Thing, Muse 5125 LP 1977. Dexter Gordon, Sophisticated Giant, Columbia 34989 (=CD CBS 467181-2) LP 1977. James Williams, Fling Colors, ZIM 2005 LP 1977. Montreux Summit, Vol. 1, Columbia 88277 LP 1977. Montreux Summit, Vol. 2, Columbia 88286 LP 1977. Sam Jones, Something in Common, Muse 5149 LP 1977. Sam Jones, Changes & Things, Xanadu 150 LP 1977. Eddie Jefferson, The Main Man, Inner City 1033 LP 1977. Reggie Workman, Conversation, Denon YX-7805 LP 1978. Bill Hardman, Home, Muse 5152 LP 1978. Charles Mingus, Me Myself an Eye, Atlantic 8803 (=CD Collectables 6840) LP 1978. Charles Mingus, Something Like a Bird, Atlantic 8805 (=CD Collectables 6840) LP 1978. Maynard Ferguson, Carnival, Columbia 35480 LP 1978. Philly Joe Jones, Drum Song, Galaxy 5153 (=CD Milestone 47094-2) LP 1978. Hilton Ruiz, Fantasia: Dedicated to Rahsaan Roland Kirk, Denon YX-7548 LP 1979. Mickey Tucker, The Crawl, Muse 5223 LP 1979. Junior Cook, Good Cookin’, Muse 5159 (=CD Senior Cookin’, 32Jazz 32095) LP 1979. Dave Kamien, Let’s Swing: Jazz Zum Mitnehmen, VGS 60132 LP 1979. Woody Herman, Woody and Friends: the Monterey Jazz Festival 1979, Concord 170 LP 1979. Mark Murphy, Satisfaction Guaranteed, Muse 5215 LP 1980. Bill Hardman, Focus, Muse 5259 LP 1980. Tapiola Big Band, Old and New, RCA 40206 LP 1980. Tatsuya Takayashi, Black Pearl, Zen 5001 LP 1980. McCoy Tyner, 13th House, Milestone 9102 LP 1980. Charli Persip, Superband, Stash 209 LP 1981. The New York-Montreux Connection, Columbia 37652 LP 1981. George Kawaguchi/Art Blakey, Killer Joe, Storyville 4100 LP 1982. Janis Siegel, Experiment in White, Atlantic 50903 LP 1982. James Marentic, Nimbus, Discovery 879 LP 1982. James Newton, James Newton, Gramavision 8205 LP 1983. The Heath Brothers, Brothers & Others, Antilles 1016 LP 1983. Jerome Rush, Bright Moments, Jeru 4000 LP 1983. Philly Joe Jones, Look Stop Listen, Uptown 27.15 LP 1985. Claudio Roditi, An Uptown Christmas, Uptown 27.33 CD 1988. Rob Schneiderman, New Outlook, Reservoir 106 LP 1988. Michele Hendricks, Keepin’ Me Satisfied, Muse 5363 LP/CD 1988. Robin Eubanks, Different Perpectives, JMT 834424 CD 1989. Dizzy Gillespie, Live at the Royal Festival Hall, Enja 6044-2 (=DVD) CD 1991. John Gordon’s Trombone Unlimited, Live in Concert, Mons Records 1890 CD 1991. Thilo Berg Big Band featuring Slide Hampton, Carnival of Life, Mons Records 1887 CD 1991. McCoy Tyner, The Turning Point, Verve/Birdology 314 513 573-2 (=CD 513 163-2) CD 1992. Monty Alexander, Carribean Circle, Chesky 80 CD 1992. Diana Ross, Stolen Moments, Motown 37463 6340-2 (avec Barry Harris) CD 1992. Antonio Hart, For Cannonball and Woody, Novus 01241 63162 CD 1993. McCoy Tyner, The Journey, Verve/Birdology 314 519 941-2 CD 1993. Paquito D’Rivera, A Night in Englewood, Messidor 7337 5 15829-2 CD 1994. Kevin Mahogany, Songs and Moments, Enja 8072-2 CD 1994. Carnegie Hall Salutes the Jazz Masters, Verve 314 523 150-2 CD 1994. Robert Trowers, Point of View, Concord 4656-2 CD 1994. Hank Jones/Satoru Oda Quintet, The HiFi Recordings/Minority Anyone, King Records NCNKDD2-2HQ/CBS-Sony 3199 CD 1994. Hank Jones/Satoru Oda Great Jazz Quintet, Satolism, Venus 79096 CD 1994. Satoru Oda & Hank Jones Great Jazz Quintet, Just Friends, Venus Records 35150 CD 1995. Art Farmer, The Meaning of Art, Arabesque 0118 CD 1995. David Hazeltine, 4 Flights Up, Sharp Nine 1002-2 CD 1995. Avi Lebo, Shades of Brass, Mapleshade 03932 CD 1995. Carnegie Hall Jazz Band/Music Director Jon Faddis, Blue Note 7243 8 36728 CD 1996. Marco Tamburini, Trip of Emotion, Nel Jazz 0961-2 CD 1996. Otis Ray Appleton, Killer Ray Rides Again, Sharp Nine 1004-2 CD 1996. Joe Henderson Big Band, Verve 314 533 451-2 CD 1996. J. J. Johnson, The Brass Orchestra, Verve 314 537 321-2 CD 1996. Jim Hall, Panorama: Live at the Village Vanguard, Telarc Jazz 83408 CD 1997. Dear Ella, Verve 537 896-2 (Dee Dee Bridgewater) CD 1997. The Heath Brothers, As We Were Saying…, Concord 4777-2 CD 1999. Dizzy Gillespie Alumni All-Stars, Dizzy's World, Shanachie 5060 CD 2000. Dizzy Gillespie Alumni All-Star Big Band, Things to Come, MCG Jazz 1009 CD 2001. Nancy Wilson, A Nancy Wilson Christmas, MCG Jazz 1008 CD 2003. Steve Turre, One4J: Paying Homage To J.J. Johnson, Telarc Jazz 83555 CD 2003. Vanguard Jazz Orchestra, The Way: Music of Slide Hampton, Planet Arts 100225 CD 2004. Jimmy Heath, Turn Up the Heath, Planet Arts 100560 CD 2004. Whit Williams, The Whit Williams "Now's The Time" Big Band Featuring Slide Hampton and Jimmy Heath, MAMA 1033 CD 2005. Bill Charlap Plays George Gershwin: The American Soul, Blue Note 7243 8 60669 2 CD 2005. Roy Hargrove, Nothing Serious, Verve 0602498885079 CD/DVD 2005. DePaul University Jazz Ensemble & Slide Hampton, DePaul University (non numéroté) CD 2009. Dizzy Gillespie Alumni All-Star Big Band, I'm BeBoppin' Too, Half Note 4540
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VIDEOGRAPHIE
 85e anniversaire de Slide Hampton, image extraite de YouTube George Coleman, Slide Hampton, Steve Turre et Steve Davis; étaient aussi présents
Kamau Adilifu (tp),Peter Lin (tb), Kenny Barron (p), Rufus Reid (b), Victor Lewis (dm)
Chaînes YouTube de Slide Hampton
• The Unforgettable Hampton Family, réal. Julie Cohen, 2011 1953. Slide Hampton avec l'orchestre familial, Duke (Clarke Jr., le frère aîné, vib,arr,lead) Hampton and his Orchestra, Billy Brooks/Leo Cornett/Russell Lucky Hampton/Ild Ferguson (tp), Harry Bell (tb), Aletra Kerley/Thomas Badger (as), Marcus Hampton (ts), Carmalita Hampton (bar), Virtue Hampton Whitted (p), Dawn Hampton (b), Calvin Shields (dm), Aletra Hampton (voc), Odéon, Cincinnati, OH, 7 avril
1955. Slide Hampton, orchestre Buddy Johnson (lead,p,voc), Harold Minerve (as), Johnny Burdine/Purvis Henson (ts), Gil Askey (tp, voc), Andrew Wood (tp), Leon Spann (b), Emmanuel Sims (dm), Ella Johnson/Floyd Ryland (voc), «It's Obdacious, Rock 'n' Roll, Save Your Love For Me», Mercury, New York, NYC, 15 août
1958. Slide Hampton (comp,arr,tb), «Slide's Derangement», album Maynard Ferguson (tp)-A Message From Newport, Bill Chase/ Tom Slaney/Clyde Reasinger (tp), Don Sebesky (tb), Jimmy Ford (as), Carmen Leggio/Willie Maiden (ts), Jay Cameron (bar), John Bunch (p), Jimmy Bowser (b), Jake Hanna (dm), Bob Freedman (arr), Parlophone Records (Warner), New York, May 6, 1958
1958. Slide Hampton (1,2,4,5,8,tb,tu), album Melba Liston and Her' Bones, Jimmy Cleveland/Frank Rehak (tb), Ray Bryant (p), Frank Dunlop (dm), «1.Christmas Eve, 2.What’s My Line Theme, 4.The Dark Before The Dawn, 5.Pow!, 8.Wonder Why», MetroJazz, New York, NYC, 24 décembre
1959. Slide Hampton Octet, album Horn of Plenty, Freddie Hubbard/Booker Little/Burt Collins (tp), Slide Hampton (tb,tu), Bernard McKinney (tb,bar), George Coleman (ts), Jay Cameron (bar), George Tucker (b), Kenny Dennis/Pete LaRoca (dm), New York, NYC, label Strand 1960. Slide Hampton Octet, album Sister Salvation, Ernie Royal/Freddie Hubbard/Bob Zottola (tp), Richard Williams (tp), Bernard McKinney (euph), Bill Barber (tu), George Coleman (ts), Jay Cameron (bar), Nabil Totah (b), Pete LaRoca (dm), New York, NYC, Atlantic, 15 février
1962. Slide Hampton (comp,arr,lead,tb) Orchestra, album Drum Suite, Max Roach/Vinnie Ruggiero (dm), Tommy Flanagan (p), Freddie Hubbard/Hobart Dotson/John Bello/Richard Williams/Willie Thomas (tp), Jay Cameron (bar), George Coleman (ts), Yusef Lateef (ts,fl), Benjamin Jacobs-El (tb), Eddie Khan (b), Epic/Mosaic, New York, NYC, 5 & 18 avril
1962. Slide Hampton, album Explosion!, «Slide's Blues», Joe Farrell (ts), Jay Cameron/Ronnie Cuber (bar), Augustino Chet Ferretti/Jerry Tyree/John Bello (tp), Benny Jacobs-El (tb), Horace Parlan (p), Bob Cranshaw (b), Vinnie Ruggiero (dm), Willie Bobo Correa (perc), Atlantic, New York, NYC, 26 juillet
1962. Slide Hampton (tb, arr) Octet, Richard Williams/Nat Pavone (tp), Benjamin Jacobs-El (tb), George Coleman (ts), Jay Cameron (bar), Butch Warren (b), Vinnie Ruggiero (dm), Théâtre de l’Etoile, Paris (compte-rendu dans Jazz Hot n°182, cf. supra), novembre
1962. Slide Hampton, album Exodus, Richard Williams/Nat Pavone (tp), Benjamin Jacobs-El (tb), George Coleman (ts), Jay Cameron (bar), Butch Warren (b), Vinnie Ruggiero (dm), «Confirmation, A Moment's Notice, I Remember Clifford, Exodus, Star Eyes, I'll Take Romance, Straight no Chaser», Paris, Philips, 14 et 19 novembre - 1965. Slide Hampton (2,6,8,arr,tb,lead), album Jay Jay Johnson-Goodies, Clark Terry (tp,flhrn), Alan Raph (tb), Ray Starling (mello), Jerome Richardson (as,fl,ts), Phil Bodner (reeds,fl), Barry Galbraith/Carl Lynch (g), Richard Davis (b), Sol Gubin (dm), Warren Smith (perc), Osie Johnson (voc), «The Seventh Son, In the Name of Love, No Particular Place to Go», Victor, New York, 19 juillet
1968. Slide Hampton, Jimmy Owens (tp) Jazz Workshop, Lee Konitz (as), Phil Woods (as,cl), Gato Barbieri (ts), Ach Van Rooyen (flh), Barry Altschul (dm,perc), Joachim Kühn (p), Volker Kriegel (g), Günter Lenz (b), Hambourg, «Present and Future», RFAllemagne
1969. Dexter Gordon (ts) & Slide Hampton (tb,arr), album A Day In Copenhagen, Dizzy Reece (tp), Kenny Drew (p), Niels-Henning Ørsted-Pedersen (b), Art Taylor (dm), MPS Records, Metronome Studio, 10 mars
1971. Slide Hampton est l'invité de Franco Cerri (g, 1926-2021) pour l'émission No Network, RAI 1, Italie, «Night Never Comes», grand orchestre avec violons
1972. Slide Hampton et le Swing Limited Corporation dirigé par Jean-François Georges et Michel Terioux, «New Ballad, Milestone, The Time Has Gone, Basie-Straight Ahead», réal. Marc Pavaux, ORTF, Paris, archives INA, 26 février
1979. Slide Hampton, Let´s Swing, Jazz Kursus No.7 WDR TV, Carmell Jones (tp), Wilton Gaynair (ts), Dave Kamein (p), John Marshall (g), Bert Thompson (b), Willie Ketzner (dm), Cologne, RFA
1980. Slide Hampton, album McCoy Tyner-13th House, Kamau Muata Adilifu/Oscar Brashear (tp,flh), Greg Williams (frh), Frank Foster (ts,ss,cl), Joe Ford (ss,as,fl), Ricky Ford (ts,ss), Bob Stewart (tu), Hubert Laws (fl,pic-fl), Ron Carter (b), Jack DeJohnette (dm), Airto/Dom Um Romão (perc,cga), William Fischer (lead), Milestone-Japon, enregistré à New York, NYC octobre
1981. Slide Hampton, album Killer Joe, George Kawaguchi/Art Blakey, Wallace Rooney (tp), Branford Marsalis (as,ts), Donald Brown (p), Charles Farmbrough (b), Raiji Kawaguchi (perc) https://www.youtube.com/watch?v=fPMaR5YeVpw
1982. Continuum: Slide Hampton, Jimmy Heath, Kenny Barron, Ron Carter et Art Taylor, album Mad About Tadd, hommage à Tadd Dameron, QuickSilver Records, Studios Rudy Van Gelder, Englewood Cliffs, NJ, 4 mai
1987. Slide Hampton, les 70 ans de Dizzy Gillespie(tp), Johnny Griffin (ts), Hank Jones (p), Ed Gomez (b), Ed Thipgen (dm), réal. Peter Behle, ZDF Jazz Club TV, Live At Theaterhaus, Stuttgart, RFA, 27 février ou 21 & 26 octobre selon les sources
1992. Slide Hampton, Freddie Hubbard/Jon Faddis/Red Rodney/Claudio Roditi/Roy Hargrove (tp), Antonio Hart (as), James Moody (as, ts), Jimmy Heath (ts), Danilo Perez (p), George Mraz (b), Lewis Nash (dm), Jazz à Vienne, «Ow», tournée To Diz With Love
1993. Slide Hampton & The Jazz Masters, Michael Mossman/Claudio Roditi/Byron Stripling (tp), Steve Turre/Robin Eubanks/Douglas Purviance (tb), David Sanchez/Jimmy Heath (ts), Antonio Hart (as), Danilo Perez (p), George Mraz (b), Lewis Nash (dm), «Night in Tunisia, Anthropology», Jazz à Vienne
1994. Slide Hampton & The Jazz Masters, Jazz à Juan, réal. Patrick Savey, Zycopolis productions
2001. Slide Hampton solo, «Lament», Redondo Beach, CA, 25 mai, © Clyde Yasuhara
2003. Slide Hampton, Claudio Roditi (tp,flh), Nick Vintskevich (ts), Kenny Barron (p), John Clayton (b), Jeff Hamilton (dm), Lionel Hampton Jazz Festival, Moscow, ©University of Idaho
2004. Slide Hampton avec Roberta Gambarini (voc), Johnny Griffin (ts), Roy Hargrove (tp,flh,voc), Eric Gunnison (p), Martin Wind (b), Willie Jones III (dm), Jazzbaltica, Salzau, Allemagne, 3 juillet
2007. Dizzy Gillespie All Stars Big Band dirigé par Slide Hampton (dir, arr, btb), Claudio Roditi/Greg Gisbert (tp), Roy Hargrove (tp, flh, voc), Frank Greene (tp), James Burton/Jason Jackson/Steve Davis (tb), Douglas Purviance (btb), Antonio Hart/Mark Gross (as), Bobby Lavell/Anders Boiarsky (ts), Frank Basile (bar), John Lee (b), Roy Assaf (p), Dennis Mackrel (dm), Roberta Gambarini (voc): «Things to Come», B Jazz Burghausen Internationale Jazzwoche 2007
2009. Slide Hampton, interview à Rochester, NY, WXXI Public Broadcasting, à l’occasion du Festival
2017. Les 85 ans de Slide Hampton, Kamau Adilifu (tp), Kenny Barron (p), George Coleman (ts), Rufus Reid (b), Steve Turre/Steve Davis/Peter Lin (tb), Wilbur Ware Institute, New York, NYC, 1er avril
2017. Les 85 ans de Slide Hampton, «Slide's Blues», Sam Dillon (ts), Frank Basile (bar), Marshall Gilkes/Ryan Keberle (tb), Tony Kadleck/Fabien Mary (tp), David Wong (b), Charles Ruggiero (dm), Dizzy's Club, Lincoln Center, 22 avril
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